LONDRES (AFP) - Amnesty International a décerné le prix annuel pour "les droits de l'homme de presse à risque» d'Abdul Karim Khieu (42 ans), ancien rédacteur en chef yéménite dans le journal hebdomadaire "Shura". Via les journaux à Sanaa le jour 22 Juin 2006 (© AFP Archives - Jack Alvazaa) Selon Khieu depuis la semaine dernière a condamné six années en raison de sa couverture de violents affrontements entre les forces gouvernementales et les adeptes du dignitaire religieux chiite Hussein Badr Eddin tard dans le nord d'Al-Yémen. Ailleurs a examiné l'organisation que Aqeel Khalil (24 ans) du journal "Azadliq" journaliste azerbaïdjanais à risque en raison de son travail. Khalil a été poignardé dans la poitrine par quatre hommes armés alors que d'autres ont fait l'objet les journalistes travaillant dans le même journal des attaques. Le directeur Mike Blackmore des médias britannique d'Amnesty », Khieu Abdul Karim Khalil et Aqeel souffrent de la persécution simplement parce qu'ils journalistes professionnels" en soulignant que "ceci est totalement inacceptable." Il a ajouté que "d'innombrables nombre de journalistes dans le monde - y compris mon ami et Khalil - souffrent à cause de leur journaliste." Il a ajouté que "Notre message est simple: nous ne devons pas contre un journaliste partout dans le monde d'attaquer ou d'emprisonnement pour avoir simplement l'exécution de ses travaux." L'organisation a accordé ce prix depuis dix ans une décision par un comité d'experts et de militants de l'organisation a son siège en Grande-Bretagne et le Secrétariat international. La cérémonie de remise du prix annuel des médias accordé par l'Organisation à Londres le mardi soir.
