Time Out New York / November 2006 / K. Leander Williams
The Tuareg girl troupe Tartit came into its own well before its desert-blues counterpart Tinariwen did, though admittedly the comparison isn't quite fair. Hypnotic vocal chants, hand claps and percussion come more naturally to the nomads than Western electric guitars do. Fittingly, what takes the Timbuktu-bred ensemble's second album a step beyond its fine debut is the newfound guitar prowess of its male instrumentalists. The girls sing, the boys play (and occasionally help out with vocals), and the Sahara zeitgeist continues its marvelous creative expansian.
Le Monde / November, 2006 / P. Labesse
Avant que l'on ne découvre le groupe Tinariwen, Tartit - cinq femmes et quatre hommes de la région de Tombouctou - a fait connaître en Occident les chants du désert et des Touaregs. Tartit signifie "union", celle de tous les Tamashek. Les chansons appellent à la paix, évoquent l'exil, le dépassement de soi et l'humilité. Aux femmes revient le rôle des voix, du tambour tindé et des youyous fusant dans les mélopées nimbées d'une nostalgie en clair-obscur. Aux hommes celui des cordes, acoustiques et électriques. La musique de Tartit s'écoute comme un blues lancinant, un vent hypnotique. Enregistré dans un studio mobile à Bamako et Gargando dans le désert, non loin de Tombouctou, 'Abacabok' est le troisième album de Tartit.
La Marseillaise / February 5, 2002 /
Les Temps chauds rendent la musique aux oiseaux
(…) elles perpétuent un art ancestral qui accompagne les jours de fête; mariages, baptêmes, mais aussi divorces, comme le veut la coutume.A leur répertoire également, les chants de l’exil. Le blues d’une terre qui a soif de ses racines.
L’Express / January 31, 2002 /
Blues du Désert
(…) La musique et la poésie ont toujours occupé une place importante dans la culture berbère des femmes touareg. Venu du Mali, l’ensemble Tartit perpétue cette tradition qui rythme les grandes cérémonies de ce peuple nomade. Elles interprètent un Blues du Désert qui parle de paix, d’amour et d’exil.
La Montagne / January 27, 2002 /
Des ambassadeurs de la culture touareg
(…) Cris, rires, interjections, claquements des mains, sons des djumbés et des coras ont porté ses chants touaregs venus du désert, accompagnés des danses sensuelles des femmes, et plus acrobatiques des hommes aux mouvements rappelant ceux du hip-hop. Le rappel fut tonitruant, un homme et une femme touaregs rythmant les applaudissements avec leur corps.
Trad Mag / March, 2001 /
(...) A l'image de la culture de leur peuple, à l'image de la situation politique et sociale les forçant à l'exil, Tartit distille une musique à la fois profondément enracinée dans les sables de l'histoire et nourri d'un nomadisme forcé et d'un mal du pays.
Amina / January, 2001 /
(...) Les chanteuses-musiciennes sont avant tout des femmes engagées sur le plan social qui ont su marier leurs activités en faveur du développement à la promotion de l'identité et de la culture de leur peuple.(...) C'est une musique de grande beauté, avec cordes lancinantes et chœurs lumineux, pleins de vigueur.
Le Monde / July 28, 2001 / by Patrick Labesse
(...) Ces chants, ponctués de youyous, disent le bonheur d'être en paix, prônent la conciliation, l'entente, appellent à lutter contre la famine, la sécheresse. A travers passe toute la vie du peuple touareg, filtrent les échos de leur histoire avec ombres et éclaircies.
L'Humanité / July 20, 1999 /
Appaisement touareg
(...) Les femmes touaregs chantent de lancinantes mélopées.(...) L'ensemble Tartit diffuse un charme rare. D'une extrême sobriété, sa musique s'appuie sur trois instruments traditionnels touaregs : l'imzad, le tindé et le tehardant.Tartit a la puissance de la simplicité et de l'authenticité.
Musica Etnica / June, 1999 /
Welcome Tuareg
(...) Il concerto dei Tartit è un appuntamento da non perdere, grazie alla splendida musica ad ampio respiro che il deserto ci viene a regalare, alle voci e ai ritmi circolari, che avvolgono il sentire in un flusso lontano dai ritmi urbani e alle danze che rapiscono lo sguardo ...
The Winnipeg Free Press / July 8, 2000 /
Entrancing West African group traces origins to refugee camp
(...) Musically, Ensemble Tartit benefits from living at a geographic crossroads - Arabic influences arrive from the north, while coastal African traditions come from the south. (...) Yesterday, the group's music proved to be a hypnotic, exotic combination of call-and-response vocals and breathy chants, accompanied by percussion.
The Toronto Star / August 12, 2000 / by Tony Montague
Ensemble Tartit rose from Africa's refugee camps
(...) The music of Ensemble Tartit is earthy and hypnotic.Vocals are emphasized, as just a handful of instruments are used. Tuareg songs generally feature a haunting solo voice backed by a female chorus, accompanied by hand-clapping on the offbeat.
Le Journal de Québec / July 19, 1998 /
(...) La formation Tartit a téléporté l'auditoire dans un univers envoûtant, et surtout dépaysant. Plusieurs festivaliers n'ont pas hésité à se déchausser au son de ces berceuses, contes et chants du désert.
Le Soleil de Québec / July 18, 1998 /
Un voyage muscial ensorcelant
(...) Quatre femmes et deux hommes, voilés selon la tradition touareg, sont assis en demi-cercle à même le sol. Leurs costumes indigo, leurs maquillages au khôl et leurs coiffures couvertes de pastilles métalliques qui scintillent, composent une bien curieuse mise en scène. Le dépaysement et total, l'exotisme complet.