MANO DIAK
Les fondements de la Mano Diak agence de voyage (voyage Temet) a été active dans le domaine du tourisme a également coordonné certaines étapes d'une course "Rallye Paris - Dakar», accordant ainsi Diak succès en affaires lui a également donné une réputation dans les médias et les milieux financiers français et américains. Mano a recruté Diak cette réputation et ces relations dans la propagande en faveur de la cause des Touaregs, avec sa femme à la recherche sur la culture et la vie de Tareq moyens de subsistance. Diak engagés dans le fil contre les rebelles dans l'armée nigériane en Mai 1990, il a vécu sa vie attaché à la cause des Touaregs et défensive, a participé à un soulèvement des Touaregs au début quatre-vingt-dix. En Septembre 1991 fondée Front de libération Alazoad Nair, et ses rebelles des négociations avec le gouvernement ont abouti à un cessez-le-feu en Juin 1993, mais le mouvement rebelle a été divisé lui-même la création de l'Armée révolutionnaire de la liberté nationale. Il a également fixé la Mano Diak Front de libération Alamos en août 1993 et a créé le Front populaire pour la libération du désert en Janvier 1994. Un Diak livre "Les Touareg et la tragédie" en français qui a été publié en 1992, et un livre "est né et de sable dans l'œil." Ayant est mort subitement dans l'écrasement d'un petit I. (Cessna 337) mi-Décembre 1995, date à laquelle il se dirigeait vers la ville pour rencontrer le Président Benjamin Binger. Il est mort dans le même plan avec lui deux de ses collaborateurs pilotées et non pilotées, Ngiri plus d'un journaliste français. Et sa mort a laissé un vide parmi les Touaregs du Niger qui a été un des plus importants intellectuels et chiffres-clés. Mano Diak né en 1950 dans le nord du Niger Nair, a été forcé d'entrer dans une petite école au Niger, où ordinaire Bagads reçu l'enseignement secondaire. Diak période de travail aux États-Unis pour le développement international (USAID) et ensuite déménagé aux États-Unis pour étudier où il a obtenu un diplôme dans le folklore de l'Université de l'Indiana, puis expulsé vers la France où il a obtenu un troisième cycle en sciences politiques de l'Université de la Sorbonne.
