MAURITANIE:L'opposition mauritanienne dénonce indice président de dissoudre le parlement

L'opposition mauritanienne a dénoncé les menaces par le Président Maaouya Ould Sidi Mohamed Sheikh Abdullah le mercredi de dissoudre le Parlement si les députés ont insisté sur les efforts de retenir la confiance du gouvernement Ahmed Ould Yahya Stander, qui fait moins de deux mois. Le chef du bloc parlementaire des Forces Démocratiques Bloc Party - le plus grand parti d'opposition - Mohamed Mahmoud Ould Amat que le Président mauritanien a essayé son temps à empêcher une institution constitutionnelle (Parlement) à s'acquitter de ses fonctions et de s'acquitter de rôles constitutionnels qui leur sont conférés en vertu de la Constitution de la Mauritanie, par la menace de dissolution, si pas arrêté Députés de leurs tentatives de retenir la confiance du gouvernement. Il est né Sheikh Abdullah dans un discours télévisé entrevue qu'il n'hésiterait pas à dissoudre le Parlement s'il est constaté "qu'il est nécessaire d'évaluer la piste et l'entretien de la démocratie, il n'est donc pas aller trop loin dans l'exploitation des marges de liberté rempli moyens de perturber le travail du gouvernement et de ternir l'image de l'institution législative." Président mauritanien en doute les motivations des députés qui cherchent à refuser la confiance de son gouvernement, et a déclaré que leur mouvement dans ces conditions, il semble étrange pour deux raisons: premièrement, que la plupart des associés à l'initiative de non-confiance sont membres du parti détenant la position de chef de file au sein du gouvernement comme partie la plus forte présence dans l'institution législative, La deuxième raison est Le gouvernement n'a pas encore présenté son programme politique d'accepter ou de rejeter pour ne pas lui accorder un minimum de temps pour juger objectivement leurs performances. Il est né Amat dans un entretien avec l'île a révélé que son parti adhère essayer de renverser le gouvernement actuel, qui dit qu'il a été rejetée par toutes les personnes et contraire à l'intérêt public, et se sont engagés à poursuivre les efforts de retenir la confiance sans hésitation ou réticence. Le chef du Parti Union et changer le député de l'opposition mauritanien Saleh Ould Hanenna est également considéré dans un entretien avec l'île a révélé que la menace du Président mauritanien de dissoudre le Parlement aujourd'hui représente une tentative visant à perturber l'ordre constitutionnel et serait préjudiciable aux intérêts de la Mauritanie, Ould Hanenna, mais a souligné toutefois que son parti n'est pas opposé à la dissolution du Parlement parce que -- En disant - "le fondateur du vide», et les élections étaient pleins de pressions et de contraintes différentes. Bonne bloc La Chambre des représentants a lancé l'inactivation de retenir la confiance du gouvernement à une assemblée générale immédiatement après le discours du Président, le porte-parole adjoint a déclaré Sidi Mohamed Ould chargés qu'ils sont impliqués dans leur mouvement de renverser le gouvernement, car "ils n'étaient pas qualifiés pour conduire le pays à l'heure actuelle," a promis le président a menacé de dissoudre le Parlement représente une "ingérence flagrante Les pouvoirs de l'organe législatif. " Le Président a également bloquer le parti au pouvoir au Sénat, Yahya Ould Abdel Conquérant est un des plus éminents défenseurs de parlementaires en vue de renverser le gouvernement que le discours du Président était "frustrant et décevant." Il a dit que nous attendons du Président de faire des compromis, pas progresser sur la voie de l'escalade et des menaces, parce que rare dans les conventions, les normes de la démocratie. Gouvernement Yahya Ould Ahmed Stander n'a pas été formé seulement un mois et demi Il a refusé Ould Abdel Conquérant dans un entretien avec Jazeera Net idée de la dissolution du Parlement, en disant que ce n'est pas possible dans les circonstances actuelles légalement ou constitutionnellement, où la loi prévoit que, lorsque la demande ne peut refuser la confiance du Président de dissoudre le Parlement avant le vote sur la demande, puis forme un nouveau gouvernement, si Quel a donné aucune confiance alors être possible de dissoudre le Parlement et le recours à des élections législatives. Les désaccords avec l'armée Sur un sujet connexe, a nié né Sheikh Abdullah dans son discours des rumeurs qui se répercutent sur les relations du président avec certains officiers supérieurs sans désigné, et a souligné que "ces officiers sont chargés de leur emploi, ils méritent ma confiance et en profiter pleinement intacte." Il est à noter que plusieurs politiques et des médias cercles parlé de la forte désaccord entre le Président et commandant général des éléments spéciaux du Président Mohamed Ould Abdel Aziz et des Forces armées chef d'état-major Mohamed Ould invasion, qui met l'accent sur bon nombre de ces milieux qu'ils étaient efficaces moteur des efforts visant à rejeter le gouvernement.